PRESSE
Al-Shorouk, 27 janvier 2024 – Interview avec le musicien créatif Rabii Zammouri / Interview par Radhouane Chebil
L’artiste et musicien Rabii Zammouri pour Al-Shorouk : « Mon métier est d’entendre les images et de voir la musique. »
Titres principaux :
- La septième symphonie de Beethoven a éveillé ma passion pour la musique.
- Les bandes-son ne sont pas simplement des arrangements sonores.
- Je préfère composer de la musique directement sur des images, contrairement à beaucoup d’autres.
- J’exhorte mes confrères compositeurs à prendre au sérieux les questions de droits d’auteur en Tunisie.
Rabii Zammouri est reconnu comme l’une des figures de proue de la composition de bandes-son, avec son travail sur des projets télévisés et cinématographiques, mettant en avant son talent, son intelligence et sa précision dans l’application musicale.
Al-Shorouk – Tunisie / Interview par Radhouane Chebil
« Mon travail consiste à entendre les images et à voir la musique et le son, » a décrit poétiquement Zammouri lors de son interview avec Al-Shorouk, soulignant sa spécialisation dans les bandes-son. Sa passion pour ce genre artistique trouve ses racines dans son enfance, mais cela ne l’empêche pas de diversifier son travail, qui pourrait même inclure..
Journal Al-Ayam
Le film met en lumière le niveau des talents bahreïniens et est attendu dans les salles de cinéma tunisiennes.
Numéro 10336
Jeudi 27 juillet 2017, correspondant au 3 Dhou Al-Qi’da 1438.
Le film bahreïnien «Tuffash et les Quarante Voleurs» a enregistré des recettes importantes au box-office depuis sa sortie en salles, rivalisant avec des films internationaux et se classant premier lors des deux premières semaines de sa diffusion. Il continue à occuper des positions avancées au box-office, restant projeté environ un mois après sa sortie.
L’un des principaux atouts qui ont marqué le film est sa musique de film, saluée par de nombreux artistes et journalistes ayant visionné le film. La bande originale est composée par le Tunisien Rabii Zamouri, qui a évoqué l’histoire du thème principal du film dans une déclaration au journal Al-Ayam. Il a affirmé…
Le compositeur Rabii Zammouri a déclaré à Al-Maghreb : « L’Hymne aux Héros de la Tunisie » est un cadeau à l’armée, au peuple et à la patrie.
Cet article a été écrit par Leila Bou Rokaa
Dans des mélodies douces, avec des échelles équilibrées et des compositions émouvantes, la musique de Rabii Zammouri dans « L’Hymne aux Héros de la Tunisie » a glissé entre symbolisme et sens. Cette composition musicale n’aurait pas touché les cœurs des auditeurs sans la belle poésie du poète Ali Louati. Elle n’aurait pas résonné avec le public sans les voix d’or de Lotfi Bouchnak, Asma Ben Ahmed et la jeune Nour Kamar. Récemment, la chanson patriotique « L’Hymne aux Héros de la Tunisie » a été publiée en tant que clip vidéo réalisé par le jeune réalisateur Zied Litayem.
« Que mon pays soit protégé des calamités, Vous êtes le refuge et l’espoir… Ils ont attaqué la nuit les innocents, brutaliser, et aucun sang n’est à l’abri, ni la vie préservée par des cœurs ayant perdu la loyauté, car la religion condamne les actes lâches. Méfiez-vous, car la religion n’a aucune part dans cela… » Ainsi, la chanson « L’Hymne aux Héros de la Tunisie » chante l’amour pour la patrie et appelle à défendre la terre tunisienne dans le cadre d’un nouveau projet du compositeur Rabii Zammouri, produit par le Ministère des Affaires Culturelles.
L’Art comme Front dans le Combat
La chanson « L’Hymne aux Héros de la Tunisie » suscite chez ses auditeurs un sentiment de fierté d’appartenir à la patrie et un amour instinctif pour celle-ci. Cette chanson s’inscrit sous le slogan : « En hommage aux martyrs de la guerre contre le terrorisme, pour saluer ceux qui veillent pour défendre la patrie, et pour honorer tous les Tunisiens tant qu’ils s’unissent avec des intentions pures et un esprit de détermination, sans se limiter à simplement aimer la Tunisie. »
Concernant ses motivations pour produire cette chanson nationale, le compositeur Rabii Zammouri, créateur de « L’Hymne aux Héros de la Tunisie », a déclaré à Al-Maghreb (dans une interview avec Leila Bou Rokaa) : « L’idée est venue de…
Nostalgie pour Rabii Zammouri : Une soirée de souvenirs et de mélodies
Le 24 juillet 2023, au Théâtre de Carthage, une soirée particulière s’est déroulée, plongeant le public dans des souvenirs et une nostalgie profonde, en revisitant les plus belles et iconiques mélodies des séries et films tunisiens, composées par le talentueux Rabii Zammouri.
Ce concert « Nostalgie » était un voyage musical permettant au public de la 57ème édition du Festival International de Carthage de revivre l’âge d’or de la musique de fiction tunisienne, qui a marqué nos vies au cours des deux dernières décennies.
Le navire des souvenirs de Rabii Zammouri arriva sur la scène de Carthage précisément à 22 heures, dirigé par le Maestro Mohamed Bouslama et accompagné de l’Orchestre Symphonique Tunisien, un ensemble de 80 musiciens et choristes. Ils accueillirent le public de Carthage en jouant l’hymne national, marquant le début de la soirée « Nostalgie ».
Comme Zammouri avait prévu que ce concert soit un recueil de ses bandes sonores, il commença naturellement par l’une de ses pièces les plus reconnaissables, familière à tous les Tunisiens : le générique du programme d’information. L’orchestre interpréta ce morceau, auquel le public répondit chaleureusement. Puisque l’événement s’ouvrit avec ce thème, Zammouri choisit la présentatrice Iqbal Kalbousi, animatrice du journal de 20 heures, pour présenter la soirée « Nostalgie ».
À l’occasion de la fête de la République, le 25 juillet, Rabii Zammouri dédia une chanson patriotique, « Hymne aux héros de la Tunisie », à la mémoire des forces de sécurité tombées pour la patrie. Écrite par le poète Ali Louati et interprétée par Mehdi Ayachi, Dorsaf Hamdani et Abir Derbal, cette chanson fut accompagnée d’images des martyrs héroïques, peintes par l’artiste Souheil Fakhfakh et projetées sur un écran géant.
Pendant plus de deux heures, Rabii Zammouri tissa des histoires à travers sa musique, ravivant les souvenirs du public et …
Rabii Zammouri’s Nostalgia: A Musical Journey Through the Good Old Days
Le grand public était en rendez-vous avec le spectacle musical « Nostalgia » de l’artiste et compositeur tunisien, Rabii Zammouri,vendredi le 24 juillet 2023 à l’amphithéâtre romain de Carthage .
“Nostalgia “est une variété de génériques et musiques de sitcoms, films et feuilletons comme « Kamanjet Sallema, de Hamadi Arafa » ( diffusé en 2007 ), « Naouret Lahwa, de Madih Belaid » ( diffusé en 2014 ), « Farhet Laamor, de Salma Baccar » ( diffusé en 2002 ) et « Sayd Errim, de Ali Mansour » ( diffusé en 2008 ).
Un spectacle de plus de 80 musiciens,choeurs et chanteurs sous la direction du maestro Mohamed Bousslema,a fait voyager le public dans le temps, le BON VIEUX TEMPS !
Pendant plus de deux heures , “Nostalgia ” qui a marqué la mémoire des générations successives de tunisiens, a permis de remémorer de nombreux souvenirs partagés à certains moments par différents individus et a permis également de raviver des moments clés et spéciaux passés en famille ou entre amis et de recréer d’autres moments chargés d’émotions, parce qu’il ne s’agit pas uniquement de la musique mais aussi d’une expérience passionnante qui s’étend et d’une histoire de nostalgie qui ne cesse de se renouveler par trente génériques et chansons de films et feuilletons télévisés.
C’est avec l’hymne national chanté par le chœur de l’orchestre qu’a démarré la soirée, suivi du générique du Journal télévisé de la Watanaiya présenté par le journaliste du 20h00 Ikbal Kalboussi.
un hommage a été dédiée au martyres de la Révolution dont les portraits esquissés par le peintre Souheil Fakhfakh étaient diffusés sur les écrans géants placés en haut de l’orchestre. « Nachid el Abtal » paroles de Ali Louati composé par Rabii Zamouri a été interprété par le trio Mahdi Ayachi, Dorsaf Hamdani et Abir Derbal.
Musique instrumentale pour les génériques de ….
« Nostalgia » au Festival de Carthage : Un Voyage à Travers les Souvenirs de Musiques Intemporelles
Sur la scène de Carthage, précisément à 22h, le public de la 57e édition du Festival International de Carthage s’est réuni pour une soirée mémorable, mettant en avant les bandes-son de séries et de films emblématiques tunisiens et libyens. Dans une atmosphère « nostalgique » unique, Rabii Zammouri a conduit le public dans un voyage au cœur de souvenirs chers, avec une performance familiale qui a séduit toutes les générations.
Les chansons de séries adorées comme El Jaïda, Dar Lakhlaa, Sayd Errim, Naouret El Hwa, et d’autres bandes-son inoubliables ont rempli la soirée, créant une ambiance de nostalgie sous la direction du musicien tunisien Rabii Zammouri. La soirée a commencé avec l’Orchestre Symphonique Tunisien, dirigé par le maestro Mohamed Bousslema, qui a interprété l’hymne national, suivi de L’Hymne des Héros, interprété par Mahdi Ayachi, Dorsaf Hamdani, et Abir Derbal, qui marquait sa première sur la scène de Carthage.
Dans une introduction spéciale, la journaliste et présentatrice de nouvelles Ikbal Kalboussi a rendu hommage à Rabii Zammouri, le compositeur du thème signature du journal de 20h sur la chaîne nationale.
Le concert a vu la participation d’artistes et d’acteurs bien connus. Jalaleddine Saadi et Kaouther Bardi ont interprété le thème de Farhat Amor, captivant le public, tandis que le chanteur Mahdi Ayachi, rejoint par Abir Derbal, a interprété la bande-son iconique de Dar Lakhlaa.
Manel Amara a interprété le thème de la sitcom Chaaban Fi Ramadan et a exprimé sa gratitude envers Rabii Zammouri pour l’opportunité d’interpréter cette chanson, qui l’avait fait connaître d’un public plus large à l’époque.
Afef El Ouni a ensuite chanté le thème de Min Ayem Maliha, et Mariem Jeddou a émouvement le public avec sa performance au violon pour la série …
Festival international de Carthage | «Nostalgia » de Rabii Zammouri : Des souvenirs ravivés par des titres incontournables
Pendant plus de deux heures, l’assistance a été transportée vers un monde nostalgique suite à l’interprétation de plus d’une vingtaine de titres de génériques de sitcoms et de feuilletons qui ont bercé notre jeunesse, voire notre adolescence … L’occasion de revivre les souvenirs que ces mélodies rappellent, des souvenirs bien ancrés dans la mémoire des Tunisiens.
La scène de l’amphithéâtre romain de Carthage a abrité, lors de la soirée du 24 juillet dernier, le spectacle musical intitulé « Nostalgia » du compositeur Rabii Zammouri.
Devant un public nombreux venu pour redécouvrir des titres à succès de feuilletons et de films tunisiens, la troupe de l’orchestre symphonique, composée de plus d’une cinquantaine de musiciens entre percussionnistes, violonistes, chanteurs, dirigée par le maestro Mohamed Bouslama, a pris place au milieu de la scène de Carthage et a démarré la soirée avec l’interprétation de l’hymne national tunisien en chant et en musique avant de donner le ton de la soirée qui a été marquée par les souvenirs, le bon vieux temps et le fun… Une chanson intitulée « Nachid al Abtal », rendant hommage aux martyrs, a été interprétée au début de la soirée par le trio Dorsaf Hamdani, Mahdi Ayachi et Abir Derbal, et a été suivie par le générique du Journal de 20 heures (diffusé chaque soir à la télé tunisienne) qui a épaté le public présent qui s’est remémoré ces sons et cette musique symbolique restée dans la mémoire collective des Tunisiens.
Du générique du Journal de 20 heures aux tubes des célèbres sitcoms telles que « And Azeïez », « Farhet Laamor » et feuilletons, à l’instar de « Sayd Errim » « Ena Horra »…. et autres, les interprètes aux voix sublimes, à l’instar de Lobna Nooman, Ahmed Rebai, Emna Fekher et Walid Tounsi, ont conquis l’assistance, notamment avec les refrains de la célèbre sitcom « Farhet laamor », interprétée par Kaouthar El Bardi et Jalal Eddine Essaïdi qui a été chanté en même temps par le public qui reprenait mot à mot les paroles de cette sitcom. Entre des titres joués au violon, guitare, luth…. Et d’autres par les chanteuses : Manel Amara, Afef Ouni et Meriam Jeddou, le spectacle enchaînait les tableaux de …
Le compositeur Rabii Zammouri à Al-Wathaeqiya : « La musique est l’un des héros les plus importants du film »
Entretien réalisé par : Bilal Al-Mazni
Essayez de regarder un film sans musique, et vous vous rendrez compte qu’un des personnages principaux a disparu, que le scénario semble incomplet, et que la moitié de vos émotions ont perdu de leur intensité. Tout cela simplement parce que la musique est absente de la scène. En fin de compte, des films comme Titanic, Pirates des Caraïbes, Danse avec les loups, Docteur Jivago, et Legends of the Fall perdraient tellement sans la musique.
Oui, la bande-son est l’un des personnages les plus importants d’un film. C’est un élément crucial que les grands réalisateurs ont toujours pris en compte depuis l’aube du cinéma, lui accordant une importance immense.
Cependant, dans le monde arabe, les bandes-son n’ont pas encore atteint le niveau de célébrité que l’on observe dans le cinéma américain, italien ou russe, bien que nous ayons des compositeurs dont le travail est devenu iconique au-delà des films eux-mêmes, comme les œuvres d’Ammar El-Sherei, Omar Khairat, Kamal El-Taweel, et Tarek Al-Nasser.
En Tunisie, le compositeur Rabii Zammouri est l’une des figures clés de cet art, avec une carrière prolifique remplie d’œuvres qui ont marqué la mémoire des spectateurs. Dans cet entretien, nous plongeons dans l’univers de la musique de film de Zammouri, sa relation avec l’élément visuel et l’importance de son utilisation au cinéma.
À ce jour, de nombreuses partitions de films et de séries télévisées composées par ..
Hymne aux héros de la Tunisie : un chant dédié au martyrs comme aux vivants « qui veillent sur la patrie»
Hymne aux héros de la Tunisie. Un chant né de la rencontre entre le poète Ali Louati et le compositeur Rabii Zammouri, un projet qui n’a pas tardé à prendre corps grâce à la conjugaison des efforts des ministères de la Défense, de l’Intérieur, des Finances et de la Douane sous l’égide du ministère des Affaires culturelles.
Le résultat: un vidéoclip de neuf minutes avec la participation de Bouchnak, Asma Ben Ahmed, la jeune révélation au nom prédestiné, Nour El Qamar et une centaine musiciens et choristes et de techniciens. Ce chant est d’abord un vibrant hommage aux enfants de la Tunisie « aux martyrs qui ont accédé au matyre comme aux vivants « qui continuent avec détermination à veiller sur le territoire national »